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1 avril 2013 1 01 /04 /avril /2013 21:45

Un costar pas trés propre, une coupe de chercheur à la retraite, une bouille de vieux prof de philo en fin de carriére, et oui, aujourd'hui nous allons parler d'un truc totalement inattendu sur le blog d'un jeune geek, Marcel Rufo, que l'on nommerai volontier Papi Pediatrie!

 

 

marcelrufo.jpgAvec sa fameuse emission "Allo Rufo", notre cher Marcel vient mettre des tacles bien précis dans les tronches des mamas hystériques, et en plus ça passe comme une lettre à la poste. 

Regardez le bien mesdames et messieurs, car de cet homme decoulera toute l'education de vos futurs enfants. Rufo, il est pedopsychiatre, et faut dire qu'il ne rigole pas avec les gosses. Avec son approche positiviste et ses conseils tout simple, il ouvre des portes que les parents ne pouvaient même pas imaginer entrebailler, pour leur bien et celui de leur progéniture. 

 

Le principe de son show est simple. Des parents viennent sur le plateau ou appellent le standard, et Rufo, en bon professionnel, vient répondre plus ou moins à leurs interrogations. Pourquoi dis je plus ou moins? et bien tout simplement parce que le gaillard n'est pas si beta qu'il en a l'air, et qu'il sait que derriere chaque question, il se cache quelque chose. IL faut dire que Rufo n'est pas un débutant en la matière, puisqu'il est directeur medical de l'espace méditerannéen de l'adolescence à l'hopital Salvator, à Marseille. Franchement le mec touche sa bille et ne se laisse pas débiner par les mamans un peu trop inquiétes pour leur bambin. 

 

Doc un concept simple pour "Allo Rufo" qui casse la baraque : un espace mediatique où les parents (et surtout les mamans) peuvent venir faire part de leurs problemes face à un expert qui saura les guider en live par quelques idées parfois surprenantes. 

Et c'est là que Marcel Rufo fait trés fort, car si il est censé faire l'expert, ce qu'on peut dire, c'est qu'il est loin des consignes ultra formelle qui ont fait le succés d'une autre emission, "Super Nanny". Et comme je suis étudiant en psychologie (master 2 s'il vous plait), je vais vous expliquer un peu les tenants et les aboutissants de son emissions, car il s'y cache des méthodes qui sot assez répandues dans le milieu et un état d'esprit bien particulier. j'aurai ainsi l'occasion de parler un peu de ce que j'aime dans la psycho. 

 

 

 

La psycho positive, c'est de la balle! mais pourquoi?

 

Et bien parce que ça positive! Ça pousse le spectateur lambda couillon a se dire : "c'est sympa c'est positif "

 

Et forcement, Rufo, avec sa bonne bouille de Papy la Sagesse il met tout le monde en confiance. Génialissime pour faire respecter ces conseils. à l'epoque, il me semble qu'une certaine Françoise Dolto faisait pareil, mais à la radio. Du coup, on voyait pas sa gentille tête.

Il faut aussi bien avouer que tous ceux qui sont u peu agés et qui sont censé s'occuper des enfants ont une bonne reputation. Il suffit juste de ne pas hurler sur les marmots et de présenter un doux visage serein face à la crise de nerf du petit d'homme pour que l'on vous donne le seigneur en ange gardien. Et cela, Rufo l'a bien compris. Il sait qu'on l'aime et qu'il a un capitale sympathie assuré dans la tranche des mamans de moins de 50 ans. Quoi qu'il fasse, le cher Rufo sait qu'on l'ecoutera, et il en use et en abuse.

 

le suite peut etre bientot......

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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 22:55

280px-LegacyOfKain_Logo.pngConnaissez vous la série "Legacy Of Kain"? Non? Alors je me dois de vous faire un topo rapide sur une des séries les plus emblématique du vampirisme dans l'univers du jeu vidéo.

 

 

 

 

Ayant faite ses armes entre 1996 et 2004, "Legacy Of Kain" est une série de 5 jeux forts violent plaçant le personnage dans la peau de deux vampires sur le territoire imaginaire de Nosgoth. On y voyage à travers les deux personnages entre plusieurs époques, tentant de comprendre comment et pourquoi le monde a basculé dans le chaos. Dans cet univers, rien n'est simple, tout eset corrompu, et les ange cotoient les démons aussi fréquemment que les humains invoquent les forces de la natures pour leur petits comptes personnels. Vous serez amené à travers les cinq jeux à derouler le fil de l'histoire et de ses complots. 

 

LA serie se doit surtout d'avoir présenté deux personnages hors du commun, Kain et Raziel. Respectivement vampires de sang et vampires des ames, ils se trouveront à la fois victimes et acteurs de leur sort, mais n'en disons pas plus, car la force de la série, c'est justement la quantité incroyable de rebondissements et de retournements de situations.gq

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25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 23:02

Ce soir, dans la rubrique "Je constate", nous allons etudier l'archetype d'un ami que nous avons tous eux durant notre vie : le bon pote qui te fais marrer au bon moment, au bon endroit, mais que t'arrive jamais à choper à l'extérieur. Celui dont je vais vous parler a été pour moi une grande source de rigolade, un sésame de la blogounette, veritable institution dans mon magazin (et sur votre lieu de travail aussi)

 

Le Michel, ou la Michele (pour ces dames), c'est la personne qui, lorsque l'on est au boulot, nous fait penser à tout autre chose que le boulot. Et pourtant, par bien des mécanismes surprenant, on n'arrive à le capter que sur le lieu de travail. C'est à la fois dommage, et à la fois rassurant. Autant on aimerai le voir dehors, autant on a peur que le cotoyer ailleur change tout. 

 

Voila comment il est en vrai : 

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Et pourtant voila la façon dont il nous parait être :

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Bien sur, ici, je projette tout par rapport à mon boulot en caisse. 

Le Michel s'attrape sur le lieu de travail donc. Il se reconnait principalement à son manque de sérieux profond et à son second degré hilarant, mais pas tenace, ni rédibitoire. Le Michel, c'est celui qui arrive à te faire penser à autre chose que ton boulot. Lui, il en a marre de sa situation, et il se libére en lachant de bonnes grosses vannes bien placées. IL aime bien se moquer ouvertement de ses collégues :

 

_ "hey mec! Si tu parles autant de cul, bin parfois j'ai tendance à me demander si t'en manque pas un peu. Va te chercher un gonzesse au lieu de parler!"

_ "J'ai vu passer le zombie cosmonaute l'autre jour, et tu rigolera ou pas, mais il a planqué des bouteilles de bieres dans son fauteuil roulant. C'est cool de faire ça quand on est diabétique, tu trouve pas?"

_ "Ahh, mais eux je les aime pas, ils sont trop cons, ecoute les parler on dirait des anguilles. C'est à force de jouer à Call Of ça!"

 

Et j'en passe des pires et des meilleurs. Le Michel a cette force dans les mots, cette capacité à l'attaque/fuite (attaquer l'air de rien), et à l'ironie sans précédent. 

 

Avec mon Michel, j'aime aller acheter des choses dans le magazin et rire des clients, commenter le monde, faire de la philo de comptoir pas sérieuse. Mon Michel, il a la force de chier dans le plat, et de se barrer en explosant de rire. Il aime faire hurler ses collègues et leur dire ouvertement leurs 4 verités en toute sincérité et avec le sourire. Mon Michel à moi, il est un peu comme Pierre Desproges, il fait des blagues fachistes, mais il le fait avec tellement de sérieux qu'on comprend qu'il est bien plus intelligent que ça. 

 

En gros, le Michel, c'est celui qui ne prend plus le monde au sérieux, mais qui pousse les autres, et moi même, à me poser des questions. C'est un peu le symptome de la sagesse non? Poser des questions plutôt que d'y répondre.

 

Merci Michel

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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 21:50

 

 

BioZombie!!!!!!!!!!!!!!

biozombie.jpg

 

 

 

Biozombie, ou Bio-Zombie est un film Hongkongais de 1998, réalisé par Wilson Yip. A l'époque, le film est loin de faire de vague, à peine si on le voit pointer le bout de son nez en France. C'est facheux, car il réalise alors une prouesse, qui consiste à présenter un film d'horreur qui sorte un peu des sentiers battues, mélange efficace entre une parodie survitaminée et un univers franchement bien pensé. Empruntant certains codes du genre, Biozombie n'hésite pas à taper dans le tas bien avant Shaun Of The Dead. Il semblerait que les asiatiques aient été bien plus réactifs lorsqu'il a s'agit de pondre une parodie digne de ce nom dans un genre ultra cloisonné, et fracasser les conventions mises en place depuis pas mal de temps (George Romero et ses sacrosaints zombies décérébrés). 

 

Le scénario emprunte des ficelles classiques du genre, tel que les décors (ici un centre commercial), les rapports de forces entre les personnages, et les éléments de surprises. On notera que dans le final offre une scéne d'une grande intelligence, mais stop spoil!

 

 

 

Résumé rapide, sans en dire trop.

 

L'action se passe dans un centre commercial de Hongkong, et l'on suit les pérégrinations de 2 lascars qui bossent dans un magazin de VCD pirates. Voila surement 2 des personnages les plus charismatiques que j'ai pu rencontrer dans l'histoire du film de zombie. Deux vrais "racailles de Shangaï" à la fois barroudeurs, voleurs, et heros badass. Obsédés par les femmes et la violence, les comparses forment un duo haut en couleurs, surtout lorsque l'on regarde la version originale. 

 

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Voici donc que nos 2 compagnons inséparables font la loi dans leur magazin et foutent le boxon à l'exterieur. Tout aussi minables que beaux parleurs, ils se retrouvent plongé sans le vouloir au coeur de l'intrigue. Allant de conneries en conneries, la situation s'envenime, dans le magazin qui vient tout juste de fermer ses portes.

 

 

Les personnages délirants se succédent, un agent de sécurité pas trés fin, des flics aux charisme improbable, un commerçant vereux et lache au possible. J'en passe des pires et des meilleurs. Des petits groupes de survivants se forment, et tentent de survivre à l'attaque de zombie la plus débile auquel on ai pu assister. Je ne vous expliquerais pas tout, mais les raison de l'invasion sont aussi délirantes que les personnges principaux, toujours en proie à leur ego surdimensionné. 

 

 

 

mise en scéne et jeu des acteurs : 

 

Car oui, je ne pourrai pas parler de notre film sans citer certains aspects du jeu d'acteur trés particulier. Souvnet, les films de zombies nous ont habitué à des ambiances sérieuses, des moments de gros silence et une lourdeur de certains scénarios. Il faut avouer que dans bon nombre de cas, ces parties pris trés occidentaux ont le chic pour décrédibiliser une situation aux premiers abords interressantes. Je pensai notamment à l'aspect journalistique de "Diary of The Dead" qui venait plomber une bonne partie de l'ambiance du film, et à ses discours pseudo philosophico-intellectualiste d'un intérêt fort douteux. Ici, point de tout ça! A Hong kong, ça va vite, trés vite! Ca se prend à peine au sérieux, et les personnages ont des réactions parfois digne des "Tontons Flingueurs à Ibiza". Une trés bonne scéne (sans spoil irréflechi) : Un jeune otaku vient faire une réclamation pour un VCD vraiment, mais vraiment foireux. Nos deux acolytes l'agressent alors et le forcent, en compensation à choisir un porno, avant de le virer à coup de pied au fesses. 

 

Le film n'est consitué que de scénes de ce genre. C'est loufoque, et on ne s'attend à rien. Et que dire de cet accent asiatique? >< Diantre! je n'avais jamais entendu cela de ma vie. Je vous laisse le soin d'apprécier, les tics de langage des personnages. Soit on fustige cette façon de s'exprimer, soit on surkiffe! Assurement, à ce niveau là, Biozombie se démarque. 

 

 

 

Les séquences du genre revisitées : 

 

Car oui, on peut considérer ce film comme une succession de saynettes en lien entre elle, qui font avancer le scenario avec légereté et ironie.

 

biozombie2.jpgMalheureusement je suis dans l'obligation de me taire, pour éviter le spoil. Car ormis les quelques séquences évoquées et le résumé rapide, les gags sont légions, et digne des meilleurs comédies. Alors comment expliquer cette efficacité? C'est trés simple, si Biozombie reprend à son compte des idées du genre, il leur fournit une nouvelle façon de s'exprimer. Fini les immenses halls des Market américains, vive les couloirs étroits des galeries asiatiques. Sus aux zombies voraces, ils peuvent maintenant aller acheter des cannettes de soda au distributeur. Biozombie offre au genre ce qu'il n'arrive plus à exploiter, une ironie sans faille et un aspect pas sérieux constant. Et bizarrement, même si tout est faux, on y croit. On y croit même bien plus qu'à un film de genre classique. 

C'est ça qui fait l'efficacité du film.

 

 

 

Conclusion.

 

Comme dans "Shaun Of The Dead", notre film offre une parodie succulente d'un genre qui s'éssoufle. Comme dans "Shaun Of The Dead", il offre une palette de personnages hauts en couleurs, et de situations rocambolesques, et comme dans "Shaun Of The Dead", il atteint un niveau de second degré inégalable. Et en plus de tout cela, Biozombie est sorti avant "Shaun Of The Dead". On en viendrai pas à se demander si ce dernier ne se serai pas inspiré de notre film.

 

Les plus : 

_ Le jeu des acteurs surprenant

_ Les situations bien trouvés

_ Un scénario qui ne se prend pas au sérieux, tout en présentant une scéne de fin extremement forte.

_ Une réalisaiton pas dégueulasse

 

les moins : 

_ Difficile à se procurer en france, et version originale à prévaloir sur la version en anglais.

_ Pas de version française

 

 

bio_zombie.jpg

 

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20 novembre 2012 2 20 /11 /novembre /2012 00:07

 

Malgrés ce titre un poil provocateur (vu que l'oeuvre de Michel Ocelot est un veritable bonheur à regarder) je ferai un petit article rapide sur ce film qui place une invasion de zombie en Sierra Leone, une joli province africiane pleine de savanne et mechantes milices sans coeur.

 

11160480_det.jpgThe Dead est un sympathique film americain sorti en 2010 qui met une claque (sans le vouloir) à pas mal de cliché américains sur le cinéma d'horreur

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Soyons clair! Depuis un certain temps, les Yankee nous pourrissaient la vie avec des films de zombies occido-centré montrant des citoyen du nouveau monde totalement désemparés devant l'éclatement des institutions classiques face à une horde de zombie. Que ce soit Romero ou Danny Boyle (bon ok, un britannique, mais c'est assez semblable au fond), le cinéma zombie montrait des citoyens occidentaux face à la dégénerescence de nos contemporains. Des survivants qui luttent dans un supermarché, ou d'autres qui traversent la land anglaise pour rejoindre une ville lambda supposées protégée, les films de zombies ont pris un coup de vieux par leurs scénarios prévisibles et la vision euro-americano-centré des réalisateurs.

 

Et bien là tenez vous bien car (comme dans Farcry 2), on a cherché à nous montrer la guerre et la mort sous un nouvel angle. Ne nous leurrons pas, c'est toujours un héros occidental qui se pavanne dans les steppes, sauf que là, ça intrigue plus, et on est bien plus destabilisé lorsque le héro découvre la savanne infesté de zombies cachés et qu'il ne sait plus quoi faire pour dégoter un moyen de transport qui ne risque pas de tomber en panne au premier accident.. Les zombies sont utlra classiques, lents et sans cervelles, mais pas besoin de les faire courir pour les rendre effrayants. Imaginés "28 jours plus tard" sans le taxi londonien ou les cocktail molotovs, The Walking Dead sans camping-cars, et vous comprendrez la saveur de "The Dead".

 

Le zombis au royaume de la debrouille : 

Ici, comme dans une certaine réalité réelle, c'est le royaume de la débrouille. Pendant que le héro americain cherche des médicaments, son homologue du Sierra Leone (100 fois plus classe, il faut bien avouer) attrape des poules pour le diner. Et ce n'est pas caricaturale! Moi même j'ai eu l'impression de trouver un intérêt équivalent dans ces deux actes. On ne sait jamais, la morphine, c'est utile pour soigner les blessures, mais si on ne mange pas on créve, irrémediablement.

Et que dire du matériel que les héros vont devoir utiliser? Tout est vétuste, à l'image d'une Afrique laissé à son compte. L'ingénieur américain devra jouer des mains et des coudes pour réparer tout ce qui lui passe sous le bras... Un peu comme dans la réalité africaine d'aujourd'hui.

 

Kirikou et les traditions : 

C'est ici que le bas blesse. Autant on a pu voir durant la premiere partie du film un certain attrait pour les habitudes africaines, à travers le pragmatisme et l'intelligence de notre héro black, autant, une fois arrivé parmis les siens, on se trouve face à des théories qui me paraissent un peu trop américanisante. Le pourquoi du comment, le rôle des exorcistes, la façon de voir les choses des locaux, tout cela laisse un message latent peu entrainant : "Nous sommes nés comme des guerriers, et nous nous battrons comme des guerriers", ou encore "c'est grâce au shaman que nous nous en sortirons"... C'est limite, trés limite. Alors même qu'on considère les locaux comme de vrais hommes courageux, on ne cherche qu'à peine à leur enlever leur étiquette de peuple sauvage tou juste décolonisé. C'est étrange, et ça me fait penser à "Dead Island", dans lequel les indiens étaient accusé d'avoir laissé se propager une maladie horrible sous couvert de traditions archaïque. C'est dommage. Malgrés l'effort fait par les scénaristes pour ouvrir l'univers zombie, on retrouve certains clichés indigérables et colonialistes    

Ceci dit, cette critique est totalement subjective, et on pourra voir les bienfaits d'une société un peu plus maternaliste que la notre dans une apocalypse éventuelle. 

 

Le soleil c'est cool, la nuit aussi : 

Revenons maintenant au plus agréable dans ce film. Vous en avez marre de voir des survivants piller des supermarchés vides, ou des mecs se barricader derrière des fenêtres en PVC en attendant la cavalerie? Qu'à cela ne tienne, "The Dead" offre une nouvelle vision de la survie. Choper un poulet innocent pour le manger sans vergogne autour d'un feu, rouler à 30 Km/h pour ne pas exploser le moteur de son vieux vehicule en ruine, tout est là pour nous fournir un univers inattendu. Comme je le disai, c'est du Farcry 2 et la préférence du réalisateur a été vers un monde sombre mais réaliste. Pas d'enculage de mouche! Ici la bouffe est aussi importante que l'endroit où l'on cuisine, les medicaments relativement inutiles quand on sait se servir de l'homeopathie, et les bastos secondaire quand on sait limer sa machette sur un bout de rocher.

Décidement, le concept de la débrouille est utilisé à son maximum, et franchement ce n'est pas désagréable. Les badass' ne sont plus des sur-hommes (ou sur-femme comme Michonne) capable de decouper un zombie en rondelles avec un laguiole, mais ceux qui savent faire un repas avec le même couteau et un peu de compétence en cuisine et en chasse.

 

Le final : 

o Un bon final à l'americaine. Ne spoilons pas mais malgrés les avantages indéniables du film (une ambiance originale, un traitement afrocentré de la culture zombie, une attaque contre les conflits inultiles qui secouent le monde), "The Dead" offre un final on ne peut plus classique, avec la potentielle destruction de la race humaine et un dézingage attendu de la société occidentale. Du début à la fin le film s'est efforcé de proposer une histoire interculturelle détaché de la vision classique du film de zombie, mais au final, ce sont toujours les mêmes enjeux qui ressortent : La fin du monde, ou alors sa réécriture.

 

Concluons donc tout de suite : 

Avantages : 

_Une histoire prenante et surprenante

_Un traitement de le mythologie zombie particulier

_le huis clos offert par le héro americain et son homologue africain, retranscrivant parfaitement une ambiance géopolitique actuelle.

 _l'univers surprenant du film qui place non pas l'epidemie au centre de l'europe, mais dans les pays emergents.

 

Inconvénient : 

_le rythme (un poil trop lent pour les européens que nous  sommes

_les relations parfois un peu trop "occido-centrées" entre les pesonnages.

 

Conclusion : 

 

The Dead est un trés bon film de genre. L'action n'y est pas banal et les lieux sont inatendus, ce qui en fera un film d'horreur surprenant. Ceci dit, la sacrosainte complainte occidentale pronant la démocratie tente de s'imposer sans faire mouche. Résultat, on se retrouve confronté à des elites et des shamans, dont on ne peux expliquer leur rôle s'ils ne le font pas eux même. C'est dommage, car c'est un trés bon film, autant du coté cinématographique qu'interculturellle.

 

note : 8/10

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 23:53

Aujourdh'ui, je vais vous faire un topo rapide sur mon avis concernant la serie The Eye initié en 2002 par les Fréres Pang, et son remake americain de 2008.

 

Le cinéma asiatique a parfois réussi à nous defoncer la rétine et le cervelet avec des films d'horreur assez effrayant. On notera au passage des chefs d'oeuvres comme "Deux Soeurs", "The Thing", ou encore "The Grudge". Quoi qu'il en soit, et malgré la qualité quasi intouchable de certaines oeuvres venu de ce continent majestueux, les majors américains n'ont pas hesités à reprendre à leur compte (et à leur compte en banque) certaines de ces petites merveilles. Le remake de "The Thing", à l'époque, m'avait fait grande impression, et aujourdh'ui, par pur tradition cinéphile, j'ai décidé de visionner le remake yankee de "The Eye".

 

En 2002, j'avais invité une bande d'ami(e)s à venir voir cette pélicule qui payait pas de mine au cinéma Pathé de Disney. Grand bien m'en a pris, car je me souviens encore de nos mines déconfitse et des grosses émotions que nous ont fournit ce visionnage.J'avais 15 ans à l'époque, et j'en ai 25 aujourd'hui. 

 

 

 

 

Alors que dire de ce remake US? Voici mes impressions livrés sur le moments. Car oui, à l'heure où j'ecrit je suis en train de visionner le film.

 

 

 

Première impression : 

 

Une scéne d'introduction atrocement chiante. Peut être est ce du au fait que je sache de quoi il en retourne, je trouve assez déplacé et mal choisi de montrer au spectateurs les prémisses de l'histoire, la raison du film. Alors qu'en 2002, les fréres Pang nous laissaient imaginer ce que nous voulions sur les raisons du pourquoi du comment, et nous les livraient qu'en second tiers du film, on est ici immédiatement envoyé au coeur du sujet. Une demoiselle mal dans sa peau, des gamins qui foutent le bordel, un truc flou qui se ballade... je ne vous spoilerai pas, mais franchement, ça gache pas mal de plaisir. 

 

J'ai également noté aussi ce fait. Alors que l'héroine asiatique n'était qu'une personne normale sans intérêt amené à sortir de l'ordinaire, on nous presente dés les premières minutes une Jessica Alba un peu fantastique, dont la cécité a créé une sorte de "sur-femme" hyper sensible et prête à sauver la vie de tout le monde, y compris les squatteurs imprudents. C'est bad, ça casse l'immersion ; on est face à un héro.     

Et puis, toutes ces silhouettes qui fuient face à elle, c'est loin d'être stressant, car ça donne une indication rapide sur ce qui va suivre. Pas de suspense, ça pue... Et ça pue d'autant plus qu'on comprend ce qui arrive aux apparitions (non je n'en dirai pas plus pour ne pas spoiler).

Juste une question : Pourquoi avoir faire parler madama Hillman, alors que dans la version originale (la même scénesans paroles) l'ambiance était 100 fois plus tressante, et les bruits de fond 100 fois plus parlant.

 

Mais ne nous attardons pas sur ces détails américanisants, ces mots lachés qui apparaissaient dans la version originale comme des non-dits énigmatiques, et qui ici s'essouflent à faire avancer un scénario tout en le rendant prévisible au possible.

 

 

les enfants dans "The Eye" :

Ce film est un film d'horreur, et quoi de plus horrifique et destabilisant que de voir un enfant en difficulté? Globalement, on trouve 2 personnages enfantins dans ce film, la petite de l'hopital (Alicia version US) et le petit garçon qui cherche son bulletin. Honnetement, chacun d'eux présente une des scénes les plus traumatisantes du film, surtout le p'tit gars au bulletin qui ne montre jamais son visage dans la version originale. Je fustige aujourd'hui ces angelos pleins d'espoirs, auquel on s'attache facilement, et glorifie ceux de la version originale, dont on n'attend rien à la base, mais qui fournissent des séquences d'émotions au top. Ici, on voit tout venir, c'est désolant!

 

Continuons notre petite critique vers un élément qui me frappe. J'en suis à la moitié du film et je remarque que la relation entre l'héroïne et son psy est trés étrange. Ce dernier se place en qualité d'expert : "C'est qui qui dit de la merde, tu dois t'adapter, ce sont des images parasite" et bla et bla et bla.

Toutes les visions de notre jeune demoiselle m'amenent à penser qu'elle est victime d'un truc surnaturel. Bizarrerie! Tout ça me parait incohérent et typiquement américain. Chacun cherche de son coté à trouver une explication rationnelle. C'est chiant! On s'en fout du rationnel. Soit tu vois rien et t'es normal, soit tu vois des ombres et tu cherches à comprendre ce qu'il se passe. Pour faire la comparaison avec l'original "Pang", on était dans un monde de surnaturel, qui ne venait pas casser le réel mais lui offrir une perspective en plus. C'est typiquement ça qui me faisait flipper à l'époque, l'incompréhension. Ici, c'est l'incohérence qui prime, mais pourquoi? Pourquoi ne pas se contenter de prendre tout ce qui arrive et d'en avoir peur, tout simplement? Sur ce point, les ricains se sont loupés.

 

Mais redevenons positifs? Dans la version original, l'horreur se cantonnait à une bonne grosse demi heure de sueurs froides et de scénes irregardables, et pis aprés, plus rien. Dans cette version US, le tout est dilué, et c'est d'autant plus agréable qu'on retient son souffle plus longtemps. Ceci dit, je n'en suis qu'à la moitié

 

 

Les raisons de la grosse flippe :    

Dans la version US, et sans grand étonnement pour un étudiant de psycho comme moi (et oui, psychosociologie et psychologie interculturelle précisement), on nous laisse penser que la solution du problème de l'héroïne se trouverait dans un héritage génétique abscon et pseudo-scientificisé. Quand on ne s'y connait pas, ça passe, ça semble plausible. Mais pour ceux qui ont vu l'original, la solution proposé par les fréres pang se trouvait dans un aspect interculturelle : conception de la mort, existence et vie des fantomes,etc. Pour moi, l'explication originale me parait pas plus convaincante, mais bien plus stressante. On ne cherchait pas, comme ici, à demontrer que le monde tournait dans un univers de cause à effet scientifiques, mais plutôt de croyances. Je me sens moins destabilisé par la version US que par l'original, qui offrait aux spectateurs occidentaux une vision plus large du monde. Schizophrénie, science génétiques se melent dans notre version US à des concepts vagues et floues sans grands intérêts. les frères Pang avaient la noblesse de juste dire "Ici, c'est comme ça qu'on pense, et c'est comme ça que le film tourne".

 

Revenons encore une fois à la relation de Jessica Alba avec son thérapeute : c'est horripilant!!!!! ><. D'un coté on semble avoir l'hysterique compulsive, et de l'autre, le savant qui, lorsqu'il admet l'inadmissible, devient une forme de héro. C'est peu flatteur pour les personnages. Voici un dialogue cours qui resume parfaitement le truc :

_"Laisse moi t'aider, tout ce que tu vois n'est pas réel

_Si tu ne me crois pas, alors tu ne peux pas m'aider.

Respect! Transfert contre-tranfert au poil!

 

Et le Final!!!

 

Ayé, le film est terminé, et voici mon avis. De loin inférieur à la version originale, cette version US n'est pourtant pas à jeter tout de suite aux oubliettes. Certes, les partis pris sont totalement americanisant, le traitement de la peur par la surprise, les dialogues de sourds entre les medecins "savant" et l'héroïne "sensitive". Le final apparait en premier lieu comme prenant, mais lorgne vite comme la présentation d'un énième hero "Self Made Woman" qui aurait la possibilité de dejouer les plans de la mort quelques minutes avant qu'elle apparaisse.Ca me rappelle Destination Finale.... L'ultime fin de cette version US présente un pouvoir nouveau, celui de defier les fantomes, alros que l'originale préferait laisser place à une fatalité quasi greco-antique. C'est d'ailleurs là le point le plus frappant : les fréres Pang ont fait de leur héroïne un héro ordinaire en proie à un destin extraordinaire, alors que les ricains n'ont produit qu'un genre de X-Woman hysterique sans grande envergure. 

 

 

 

 

conclusion et note de la version US : 

 

les +++

_ Un bon film de genre, surprenant et jouant plus sur la peur psychologique que sur la surprise

_ Un rythme bien supérieur à son homologue asiatique (et vraiment bien plus)

 

les -----

_ Un film peu cohérent

_ Des personnages qui se balladent entre fictions et réalités sans faire la part des choses

_ Un scénario manichéen et prévisible (la Mort est méchante! Of course)

_ Des fantomes peu charismatique, surtout si on la compare à l'orignial

_ (Et pour les pro de la psycho et de la socio) Le traitement interculturelle, psychologique et sociologique du théme du fantome, et de la mort. Ici, tout est vu d'un point de vue positiviste universaliste américain (excusez les termes, mais c'est à peu prés ça), alors que les fréres Pang proposaient une vision singulière et unique du fantôme, à la lisière entre Silent Hill et The Thing

 

Qu'est ce que je vous conseille?

Pour colmater la brèche intellectuelle faite par ce visionnage, je vous propose de voir ces 3 films, qui traitent des même sujet d'un autre point de vue

_ Silent Hill : Americanisant mais largement honnête

_ Dark Water : pour entrevoir ce qu'est le fantome asiatique

_ The Eye "Version Originale", un gros moment de FROUSSE, durant lesquels vous pourrez non seulement voir l'interprétation asiatique du fantôme mais aussi un univers "Taïwan" bien plus crédible que celui de la version US

_ The Thing, l'intégrale américain et asiatique : Juste mythique...

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10 août 2012 5 10 /08 /août /2012 23:09

Bonjour à tous!

 

Aujourd'hui, un article un peu spécial car il sera peut être le terreau d'une nouvelle rubrique. La rubrique "Et si?". Nous tenterons de faire bouillir notre imagination avec moult délire sur le théme de "Et si ceci s'était passé. Pour illustrer ce à quoi ressemblerai un article de cette rubrique, et bien voici le premier

 

 

Et Si Lovecraft avait vécu à notre époque et fait des jeux vidéos?

lovecraft.jpg

 

Et voici un personnage bien flippant qui a créé un univers d'horreurs et de démons. Ecrivain horrifique anglais, on peut pas dire qu'il a eu une vie joyeuse. Grand trouillard de la vie, il a vite fini par peter les plombs. Sa carrière est ridicule et il ne touche que trés peu de salaire. Aprés un marriage et un divorce à l'amiable il finit sa vie chez une de ses tantes, dans une atroce mauvaise santé. De sa vie merdique, il consitua une oeuvreen tièrement horrifique, et aujourd'hui, les écrivains moderne doivent beaucopu à son travail sur la peur, la faiblesse de l'humanité les horreurs enfouis dans le cosmos. 

 

C'est un auteur parfaitement humain. Et c'est pourquoi, cet ecrivain sordide a inspiré derriere lui une littérature bien particulière, encore actualisée aujourdh'ui, "Le mythe de Chtuluh". Cet univers, principalement peuplé de créatures terrifiantes et de dieux malveillants a été maintes refois reprise dans certain jeux vidéos. On n'en citera pas tout de suite car cet article ne fera que de parler de ces jeux. 

Quoi qu'il en soit, la question est posé, si Lovecrat avait vecu à notre époque, quels jeux vidéos aurait il apprécié? 

 

On va faire un classement sur 10 jeux. Qu'il présente l'univers de Lovecraft ou pas, chaque jeux est digne d'un des aspects de l'univers de notre auteur. 

 

 

10 !!!!

The Thing

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Voici pour commencer surement un jeu qui l'aurait laissé à la fois admirateur et réservé. Sorti en 2002 et dévellopé par Konami, il nous plonge dans une station scientifique en plein milieu de la banquise. Pour survivre, il faudra echapper aux surveiller ses coéquipier,echapper aux mutans et aux commandos envoyés pour vous tuer. L'univers est inabituel, bien que fidéle au film de Carpenter, et réellement dangereux. On a vite fait de crever de froid en courant dans la neige (lol). 

 

 

 

 

 

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Le jeu se présente comme un Third person Shooter dans lequel on progresse en combattant des ennemis mutants et des militaires pas trés contents.

 

lifting01.jpgBien entendu, les scénes d'actions sont bien plus nombreuses que celles d'horreur, et globalement, l'intrigue n'arrive pas à se tirer du lot dans les combats sont présents et retors. Parfois c'est une vrai galere definir une mission tellement on s'ennuie. En gros on a pas le temps le de comprendre. Autant les armes sont chacunes assez interressantes à manier, autant on rit de voir l'intelligence artificielle ramer, surtout lorsque l'on tente de donner un ordre à nos crétins de coéquipiers.

Malgrés tout, le jeu posséde un charme particulier, celui de proposer de jouer un homme un peu paumé dans un univers extremement dangereux et imprévisible. On ne voit pas trés bien ce qui nous attend au détour d'un couloir, ou dans un batiment. 

 

 

 

 

Au final, qu'est ce que Lovecraft aurait aimé dans ce jeu? Peut être l'aspect froid du monde, sa sterilité et les horreurs tapis dans l'ombre. Le plus impressionnant pourrait pour lui être les moments où nos coéquipiers se transforment en créatures mutantes. C'est pas forcement effrayant mais ça fout un coup de stress. A mon avis il aurait kiffé.

 

 

 

 

 

9 !!

Metro 2033 

 metro-2033.jpgCréé donc en 2010 par THQ. Ce jeux se déroule dans les égouts de moscou 20 ans aprés une catastrophe nucléaire. Le monde est en ruine à la surface et les populations se sont réfugiés dans le métro. Des mutants, des apparitions de fantomes et des nazis enragés. Ce qui pourrait sembler une

grosse bariques d'idées farfelues est en réalité parfaitmenet cohérent et offre un univers oppressant et on ne peut plus étrange.

 

 

 

 

 

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Un FPS typique de l'époque, avec son petit coté infiltration et survival, vraiment pas dégueu. Assez sympa à regarder, quoi que pas forcement extraordinaire, les graphismes en sont néamoins beau et le level design assez libre. On regrettera juste la petitesses des maps. Bin oui, on est dans le métro la plupart du temps. 

 

 

 

 

 

 

Je pense que Lovecraft notre bien aimé aurait apprécié l'univers fantastique qui se profile durant la totalité du jeu, ses groupes d'humains enragés et aigris et ses fantomes surprenant. De ce jeu claustrophobe, il  retiendrait surement principalement la faiblesse de l'homme face à des élèments qui le dépassent totalement.

A noter que le prochain episode est actuellement (11/08/2012). Cool!

 

 

8 !?

 

Dementium : The Ward

 

256px-Dementium.jpgVous connaissez cette série de FPS d'horreurs, sorti sur Nintendo DS. Un véritable tour de force dans l'univers de la console, habituellement orienté jeux familiaux. Dementium, 1 et 2 , c'est un peu ce qu'il se passe dans la tête de Wario. On incarne un pauvre malade mental livré à lui même dans un hopital psychiatrique hanté. Bien sur, les intellectuels comprendront qu'en Réalité, ce monde n'est que la représentation de ce q'il se passe dans sa tête. L'univers est particulièrement glauque et fou. Pas trés long en lui même, j'ai tout de même pris finir à le terminer et à apprécier son scénario sombre et psychotique.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

7 : ZombiU (The Zombie Game New generation : 

 

zombiu-wii-u-nintendo.jpgDepuis plusieurs décennies, Nintendo a tendance à jouer la carte de la facilité et à proposer pas mal de jeu casu enfantin. Mais revenant du Paris Game Week, j'ai eu l'occasion de tester (et d'approuver) ce titre tout nouveau destiné à la WiiU naissante. Chers lecteurs, et chers ami(e)s de Lovecraft, faites vous plaisir et renseignez vous donc sur ce futur hit vennat deferler sur nos plages, car ZombiU, c'est un peu un melange de 28 jours Plus Tard et de Amnesia The Dark Descent. 

Et oui, j'ai eu l'occasion de tester ce jeu avant sa sortie, et il faut dire qu'il promet des choses interressantes, tout à fait dans l'univers zombiesque que nous connaissons. 

 

 

Utilisant les capacités de la console de salon à 2 écrans (une pour la télé et un pour la manette), ZombiU présente un univers londonien en proie à une attaque zombie (on ne peut plus classique). Et il faut avouer que c'est assez efficace. Bien que le systeme de combat soit d'une lenteur à couper le souffle (lol), Le jeu se targue d'apporter une atmosphére sombre et claustrophobe. Vous faites parti des survivants, et vous devez remplir un ensemble de mission, certes classiques, mais tout à fait prenantes. Pas aussi eclatant d'originalité que Dead Island, mais bien plus stressant qu'un des derniers resident evil, il vous faudra evoluer dans une ville où tout n'est qu'obscurité et violence. On se sent vraiment petit dans ces dédales de couloirs et face à ses hordes de monstres sanguinaires, on a vite fait de pisser dans son froc. On ne sait pas d'où vient le mal, mais en tout cas, il est là et il faut faire avec. Une aventure certes pas magnificiente, mais prenante et pleine de belles promesses. (Aprés, tout, je n'ai joué qu'une quinzaine de minutes)

 

 

 

 

Dead Island (les zombies au soleil, c'est plus classe que les zombies à l'ombre dans le métro)

 

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Vous en avez marre de voir tout le temps les zombies marcher dans des recoins sombres et glauques? Dead Island, à sa sortie, offrait un univers vraiment innovant, plaçant les survivants de l'apocalypse non pas dans les rues d'une ville fantome, mais en plein soleil sous les tropiques.

 

 Savez vous qu'à la base, les zombies sont originaires d'Haïti? De quoi couper la chique aux clichés habituels. Lros de sa sortie, Dead Island proposait non plus de se battre pour sa survie dans des endroits froids et austéres, mais bien au beau milieu d'une station balnéaire. C'est on ne peut plus rafraichissant, et si Lovecraft avait eu le courage de lever ses fesses de son appartement anglais, il n'aurait pu que "Big Uper" le concept. 

On se retrouve donc sous le soleil à foutre des baffes à une hordes de dégénérés prêt à vous grignoter le cervelet. L'aspect RPG est censé être omniprésent. Ceci dit, à titre personnel, je conteste à corp et à cri son utilité. Je vous invite pour cela à visionner mon trés long test du jeu sur cette page http://www.youtube.com/watch?v=JHDJ7zcYLqU

 

Un titre bien sympathique, malgés ses défauts, que je recommande, pour l'immersion, de jouer en mode analogique (à voir dans la configuration). Lovecraft aurait aimé son aspect stressant et original, son ambiance et la situation dans laquelle se trouve ses personnages : perdu dans un endroit qu'on ne connait pas et dependant de ce qu'on va trouver sous nos pieds.

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13 juillet 2012 5 13 /07 /juillet /2012 00:01

Et voila!

 

Arpés avoir lu mon article en détail (eurf, ça m'etonnerait tout de même), vous vous retrouvez aujourd'hui avec votre instrument à corde en main. "Et maintenant, je fais quoi pour devenir une Superstar?

 

Superstar? n'exagerons rien. Pour l'instant, tu n'es qu'un bleu-bite avec une grat' entre les mains. Alors faisons le point. Comme je le disais précedement, tu veux faire de la musique pour envoyer du gros paté, mais tu n'a aucune notions en musique. tu veux devenir une star, mais tu n'as jamais fait de concert. QU'à cela ne tienne, je peux te donner quelques conseils (moi qui n'essaie plus d'être Kurt Cobain ou Flea depuis longtemps). Honnetement, devenir un artiste, c'est 10% de talent et 90% de travail.

 

Tu es déçu? tu pensais pouvoir faire du gros son tout de suite? Laisse moi te rappeller cette celebre expression geek : "lol". Faire de la musique, c'est extremement difficile. Nonobstant, ce n'es pas insurmontable. Pour tout musicien novice, il faut une qualité unique, le sésame ultime : la motivation. *

Mais être motivé, ce n'est pas seulement vouloir apprendre, c'est aussi se donner les possibilités : illustrons ceci trés précisement avec un exemple, celui di bassiste (je l'utilise car je fais moi même parti des gens qui ont suivi cette voie). Te voici donc armé de ta Precision Bass de chez Squier, prêt à te lancer dans le truc, prêt à jouer du rock punk. la première chose à faire sera de prendre conscience que tu a entre tes mains un instrument, et pas une seconde bite. Le rock, c'est bien, mais la musique rock, c'est mieux. En tant que novice, il te restera alors à comprendre en quoi tu pourra faire preuve de ta valeur. Et le meilleur moyen de prouver tes capacités sera alors de t'entrainer durement sur ton instrument et tes morceaux fétiches. Saches, dés aujourd'hui que pour devenir un bon musicien il est ABSOLUMENT essentiel de savoir lire la musique. L'idéal sera d'apprendre le solfége, le minimum sera de savoir lire une tablature. Si tu ne sais faire ni l'un ni l'autre, et que tu pense pouvoir te débrouiller à l'oreille, alors oublie tes croyances, et prends quelques cours. la base de la base de la base pour les instrument à corde sera d'apprendre à lire une tablatur. En voici un exemple pour basse http://www.slappyto.net/Tablatures-Basse/Voir-Tablature-Basse.aspx?id=153

La tablature présente un nombre de ligne équivalente au nombre de cordes sur ton instrument, le numero equivaudra à l'emplacement sur le manche (0 = corde à vie / 1 = emplacement le plus en haut sur le manche). Tu es désormais censé avoir compris comment lire une tablature. C'est le plus simple mais pas forcement le plus eficace pour apprendre à jouer

 

 

 

Saches désormais que dans le rock, il existe globalement plusieurs instruments essentiels, et quelques autres, dont on pense pouvoir se passer mais qui seront tout aussi décisif. Continuons sur l'exemple de la basse.

Dans la construction d'un morceau de rock, l'essentiel du morceau se base sur 3 instruments, la guitare, qui organisera (à priori) la partie melodique, la basse qui organisera la tonalité, et la batterie qui organisera le tempo. Trois éléments essentiels en musique : tempo, tonalité et melodie.Toi bassiste, tu dois donc faire le lien tonal entre la batterie et la guitare. La batterie imposera un tempo à la guitare, et toi tu lui imposera une tonalité. Tout ceci pourrait paraitre compliqué, mais c'est pourtant la base d'un morceau. 

Le guitariste rythmique : 

Car oui, nous avons parlé de la basse, mais il faut savoir que tous ces intruments sont dépendants les uns des autres, et que le role de chacun pourra varier. La guitare rythmique en est l'exemple pure. Le guitariste rythmique imposera, à l'instar de la basse basique, la tonalité. Parallelement à cela, la batterie gardera le pupart du temps son role de directeru de tempo. Chez certaisn artistes, comme Génésis et Phil Collins, ce seront les instruments à cordes et synthétiques (synthétiseurs) qui imposeront le tempo, alors que la batterie aura un rôle d'instrument mélodique. Chez des groupes de New Wave comme Depeche Mode, le synthé aura à la fois le role mélodique et de tonalité (Personnal Jesus, Enjoy The Silence) alors que la guitare aura un rôle de tempo et de mélodie. Enfin, dans des groupes comme New Order ou Red Hot CHili Peppers, la guitare suivra uniquement une tonalité, tandis que la basse fera toute la mélodique (c'est ça que je préfére).

 

BRef, quelque soit votre son, l'important sera que tout le modne trouve sa place : un instrument tempo pour marquer le rythme, un instrument tonal pour identifier la tonalité du morceau, et un instrument mélodique pour que le tout ne soit pas trop chiant. Notons par ailleurs que dans la plupart des groupes, la melodique n'est tenu ni par la batterien, ni par la basse, ni par la guitare, mais par le chant. C'est le concept de la chanson française (Jacques Brel, Georges Brassens, Charles Trenet.)

 

Vous avez de nouvelles idées? C'est bien! Retenez juste que vous devrez savoir quel est le rôle de votre isntrument. Jouerez vous une belle ligne de basse? un guitare rythmique entrainante, ou un loop de batterie percutant.

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11 juillet 2012 3 11 /07 /juillet /2012 00:48

Alors bon, commençons par le commencement. 

 

The Walking Dead : tout bon gros geek fan de zombie est sommé de connaitre la série de Robert Kirkman, qui offre une véritable série noir sur fond d'apocalypse (ou plutôt d'infestation zombie du monde). Dans son comics, entamé en 2003, le cher monsieur depeint la vie d'une petite communauté de rescapés d'une invasion de mort vivant dans les environs d'Atlanta, aux USA. En qualité de fan, je ne pourrai que vous dire que cette série est un phénomène d'intelligence, de créativité et de suspense. Oui certes, c'est extremement bon, mais ça l'est tellement que s'est ultra-bankable, et que par conséquent on a vu une quantité importante de produits dérivés la suivre : artbook, jeux vidéos (je conseille fortement les point n' click sortis par Teltalle Games), les webisodes, et autres goodies sorties récemment poru faire du chiffre avec la série.

 

Mais comme dans toutes série à succés, il existe un univers à part, un monde peuplé de discidents malins et perspicaces, capables de tout pour demontrer que derriere son aspect "ultra delirante trop forte qui tue", une licence peut parfois cacher des aneries sans noms. 

Pour vous illustrer ce qu'une parodie peut faire d'une licence à succés, je vous orienterai vers "Star Wars". Sur un celebre moteur de recherche internet, tapez "star wars deconne", et vous verrez des betises assez comiques, et des parodies de tout poils. Pour "The Walking Dead, c'es tplus compliqué : la série est utlra sérieuse. On voit des choses absolument terrifiantes, et aux premiers abords, vous n'aurez absolument pas envie de sortir de l'oeuvre original. C'est trop prenant, trop stressant, et tellemnt bien agencé et rythmé...

 

Et pourtant, mon frére, ce grand malin, a réussit à me faire découvrir la face caché de la série en m'offrant un exemplaire de cette succulente parodie : "The Walking Raides" Ne cherchez pas de significations complexes, ni d'explications farfelues, le titre de la bande dessiné est nul à ..... mais Qu'à cela ne tienne, car elle offre une lecture assez surprenante de la bande dessiné originale.

 

à travers cette parodie, Fonolossa, jeuen dessinateur espagnol, nous offre sa propre vision du comic. Et honnetement, c'est surprenant de voir que certains clichés nous sont passés sous le nez sans que l'on s'en rende compte. Ici, la BD de 136 pages nous plonge dans les episode 1 à 4 de l'original (Aujourd'hui, en juillet 2012, on en est à l'episode 15). L'humour est là, bien présent, et on y retrouve de nombreuses références cinematographiques. En clair, l'histoire est la même, à quelques details prés, mais on y retrouve des idées absolument ubuesques. Uen infirmiére qui soigne ses patients aussi bien que les zombie qu'elle extermine à coup de fusils d'assauts, un coursier asiatique qui combat les zombies à coup de "Kameah", un univers délirant s'offre à nous. 

Autant les zombies sont de grands décérébrés stupides, autant les sous titres que Fanolossa inclut à leur grognements induit un rire franc et honnete. On rit de voir des mort vivants commenter leurs actions, comme s'ils étaient des gens normaux juste un peu dérangés. Les protagonistes vivants, à l'antithése de l'original, sont des sommet de débilités et de niaiseries. Certaines de leurs réactions sont totalement imprévisibles, et l'ont fini par se dire que contrairement au comic de Kirkman, cette absurdité aurait permis aux originaux de survivre un peu plus longtemps. 

L'ensemble est totalement absurde, et franchement agréable à lire. Mais il y a un "hic". Le comique répétition et la structure des blague parfois un peu mise aux rabais. C'est salace, parfois pas trés fin, en gros assez beauf. Oui c'est ça, on se retrouve face à un groupe de boeufs qui sombat des boeufs morts vivants. ça apporte une dose d'humour, mais parfois l'humour à répetition, aprés avoir fait mouche, fini par lasser. 

 

Le resultat, c'est qu'aprés avoir lut l'integralité de la BD, on se retrouve comme un con à dire "bon maintenant, je fais quoi? je fais une sieste? je joue de la basse? je revise?", alors que dans l'original, on arretait la lecture, et dans un souffle, on se disait "merde, mais qu'est ce qu'il va se passer?"

 

Au final, voici le gros défaut de cette parodie : on rigole, mais au final, on s'en fout. Je la conseille tout de même pour les fans de zombies, car elle réussit à mettre le doigts sur certains clichés des comics (racisme caché, facilités du scénario, rebondissements attendus). Pourtant, pas de quoi faire une oeuvre majeur, pour l'instant. J'y prefererai les parodies à la française (sans chauvinisme) : Fluide Glacial, éditions Dupuis, Psykopat'. L'humour espagnol est particulier, et n'a absolument rien à voir avec l'humour belge, français et anglais

 

Maintenant imaginé une parodie de "The Walking Dead" par les Monty Pythons O=

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3 juillet 2012 2 03 /07 /juillet /2012 23:26

Si toi aussi tu rêve de faire tomber les filles, de faire un solo de shredder sur scène et d'envoyer du gros paté quand tes copains t'écoutent jouer au bord de la Marne tout les samedi aprés midi, mais que tu ne connais ABSOLUMENT rien aux rudimants de la musique, alors cette article t'es entièrement consacré. Voici quelques conseils pour les instruments à cordes, de la part d'un mec qui a un peu d'expérience dans la matière.

 

 

guitare.jpgBonjour à toi Jeun Ami(e)!

 

Aujourd'hui, pour ton anniversaire, tu as décidé de tanner tes parents pour qu'ils t'ouvrent les porte de la gloire en t'offrant une guitare. Qu'à cela ne tienne, tu a eu ton bac, ton brevet, ou alors tu a eu de bons résultats à l'école! Tes parents (ou toi même tout seul si tu travaille) pourront bien faire un effort pour te permettre d'obtenir ce sésame que bon nombre d'adolescents et d'adultes nostalgiques convoitent : l'instrument à corde éléctrique, avec son ampli et ses médiators, ses jeux de cordes et sa grosse disto qui fera vriller les vitres de chez toi.

Car OUI! Au début, commencer la guitare, ça ressemble un peu à cette image. C'est boOOO, c'est classe, ça pue le sexe et la maitrise, le groove et les solos ravageurs.

 

Mais soyons honnête, car pour toi qui n'y connais rien, ça s'arretera à peu prés ici, à cette image de fantasme : un belle instruments sur lequel une paire de main s'affairent consciencieusement.

 

 

Commençons par le commencement. Quel instrument prendre? Une gratt' à priori, parce que ça a 6 cordes et que ça parait plus dur à jouer, donc plus efficace pour impressionner (oui, c'est souvent les premières impressions). Arrêtons nous là et posons nous une question : à quoi ça sert d'acheter un instrument, à part pour se la raconter comme une racaille avec son maillot "Ghetto Fabulous Gang" ou "Fantastik Armada". L'instrument est un piège,un odieux appel au conformisme! En gros, être goth ou punk et posseder une grat' electrique, c'est l'équivalent d'un kéké avec sa voiture tuning. Soit ça le fait, soit ça craint. Et pour couronner le tout, un goth/punk avec une guitare qui ne sait pas jouer, c'est comme un kéké avec sa voiture tuning qui accélere à la sortie du feu rouge (à fond les ballons), pour finalement s'arreter 100 mètres plus loin à un autre feu rouge. C'est pas le tout d'avoir un instrument, il faut savoir le sortir au bon moment et jouer convenablement dessus.

 

 

régle 1 :  bien chercher pour bien trouver son premier instrument.

Sachez dans un premier temps mes amis que pour chaque guitariste/bassiste, il existe des instrument plus ou moins adaptés. Donc, pour ne pas perdre de temps, perdez en! La plupart des novices choisissent leur "partenaire en bois" d'aprés des critéres esthétiques :

_"WAHH celle ci elle est trop belle, je la veut!" 

Non décidement, ce n'est pas un argument valable, et c'est même la plupart du temps ce qui fera que le novice lachera son instrument au bout de deux mois. 

 

Pour faire un rapide topo, et fournir des indices à ceux qui voudraient commencer la musique, il faut savoir qu'il existe plusieurs type de guitare, definissable par leurs formes et leurs electroniques. Poru chaque style de jeu, il existe un instrument fétiche.

 

J'ai  une préférence pour la marque Fender, fer de lance de la musique éléctrifié depuis les débuts du rock. Je vais vous décrire ici globalement les diverses formes de guitares et de basses.

 

Stratocaster et Precision Bass 

stratocaster.jpg   fender_american_precision_bass.jpg 

 

Cette guitare et cette basse sont à mon sens, l'équivalent dans un groupe. Déstiné au rock et au punk, ces engins ont largement fait leurs preuves. Le son est polyvalent, assez energique, et ces engins sont agréables à jouer. L'electronique est simple, et permet de parfaitement s'accorder avec des musiques rythmés et pas trop techniques. On ne rentrera pas dans les détails, mais ces instruments sont adaptés au rock cool, au punk et plus largement aux débutants.

Pour ma part j'ai commencé la basse sur une precision, et j'ai pris un pied incroyable, car elle était simple et efficace

 

 

Telecaster et Jazz Bass

telecaster.jpg  jazz-bass.jpg

 

Ne vous y trompez pas, si c'est deux instruments sont beaucoup plus différents que ceux précedement cités, ils possédent des capacités qui leurs sont communes. Jazz Bass et Telecaster sont toutes deux dédiés à des musiques plus techniques, plus blues et jazz. Le son est beaucoup plus rond, et la prise en main est plus difficile. La Jazz Bass peut être appréhendé par les débutants, avec difficultés, mais la telecaster, veritable guitare de blues man, est d'une difficulté assommante à maitriser. Et pourtant, une fois qu'on sait la maitriser, on peut prétendre à faire chavirer le coeur des groupies, car sa sonorité est particulierement affriolante. Ce n'est pas étonnant si Prince jouait sur cet angin et dégageait un sex-appeal sans pareil. 

J'ai commencé la guitare sur une telecaster de la marque Hohner, une veritable boucherie pour mes doigts de novices. Mais aujourdh'ui, je regrette, aprés 10 ans de musique, de m'en être séparé. 

 

 

La Showmaster!

showmaster.jpg

La showmaster est une guitare dédié au rock plus lourd. On pourrait même dire que c'est un modèle dédié à la fusion et autre style de musique plus métal, de par son electronique plus evolué et ses mécaniques plus "90". Le son est plus lourd, plus fort, et bien plus adapté à une grosse distorsion qui fait mal (pour les ultra novice, la disto, c'est le son que tout les metalleux utilisent pour les rythmes de base. Peut être pas autant institutionnalisée que ses grandes soeurs strat' et tele', elle a reussit à faire sa part du gateua dans le monde de la musique.

Il n'existe pas d'équivalent à la basse, car elle reste malgrés tout assez polyvalente. Cependant, le look , et le son rappellent ceux des guitares et basse produit par une des marques concurentes, Ibanez.

 

 

 

Ibanez et ses potes, les rebelles asiatiques

 

ibanez-grat.jpg  ibanez-bass.jpg

 

Au commencement, Ibanez n'était qu'une sombre confrerie de copieurs japonais, tentant de se faire un peu d'argent en reprenant les instrument américains (ceux que nous avons déjà cités plus haut. Mais comme les japonnais savent se montrer parfois, subtilemnt talentueux, leur marque a réussit à se tailler une bonn epart dans l'industrie du rock. Ainsi, aprés avoir démontré que leurs guitares japonnaises et coréennes n'étaient pas si mal foutues qu'on pourrait le croire, Ibanez reussi dans les années 70/80 a se faire accepter et reconnaitre en temps que fabricant compétent et fiable. La plupart des copies qu'ils fournissait précedemment sont désormais considérées comme des intrument law suit, c'est à dire des copies resistantes égalant bien souvent leurs modéles. Ils sont fort ces japonnais. 

 

Aujourd'hui la marque est largement réputé dnas le monde, mais à titre personnel je préfere la marque Fender, qui me semble un peu moins original, mais plus adapté à mon style de jeu. 

 

 

Je ferai volontairement l'impasse sur bien d'autres marques qui ont su faires leurs preuves pour les débutants et les érudits, notamment Gibson (dont je possede une magnifique Les Paul customisé), Rickenbacker (les instruments à 1500 euros qui defoncent leur race), ou encore Cort. 

 

La suite trés bientot

 

Kiss the rock!

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